Le musée fonctionne sur ordinateur et lunettes VR. Attention le musée n’est pas tactile, il ne fonctionne pas sur tablette et smartphone. Vous naviguez avec les flèches du clavier (haut, bas, gauche, droite), la souris et le joystick. Pour trouver les oeuvres, vous devez utiliser la feuille de salle ou des marqueurs graphiques signalant des oeuvres à activer dans l’environnement du Musée.
Le curseur de Niveau Graphique vous permet de varier le niveau de détail graphique du Musée de 1 à 4 en fonction de votre capacité numérique. Cela peut permettre une navigation plus fluide et aussi de jouer avec le bâtiment en le faisant disparaître pour ne faire apparaître que les oeuvres.
La feuille de salle vous donne accès à la liste complète des oeuvres du Musée. La liste des oeuvres est interactive. En cliquant sur le titre d’une oeuvre vous ralliez directement son espace d’exposition, à l’intérieur ou à l’extérieur du Musée. Le titre de l’oeuvre s’affiche en bas à gauche de l’écran, en cliquez dessus, une fenêtre s’ouvre avec des informations sur l’oeuvre et un lien sur le site Ipotêtu et l’atelier associé.
L’apparition de certaines oeuvres demande parfois un temps de chargement : Soyez patient! Beaucoup d’oeuvres, graphiques, vidéos, sonores sont interactives, il suffit de s’en approcher ou de cliquer dessus. Certaines peuvent nécessiter un certain temps de chargement. C’est un Musée multidimensionnel. Chaque oeuvre apparaît dans un Musée d’Ipotêtu qui lui est propre, indépendamment des autres oeuvres. Il y a autant d’oeuvres que de Musées...
Le musée d’Ipotêtu est compatible pour une expérience en réalité virtuelle. Si vous avez des lunettes VR, ouvrez le site ipotetu.com depuis le navigateur de celle-ci.
NB : Dans la VR, les vidéos du Musée s’ouvrent dans un onglet indépendant. Fermer l’onglet pour retourner à l’environnement 3D du musée.
Les oeuvres sont également visibles en dehors du contexte du Musée dans un catalogue des oeubvres, en mode VR. Il vous suffira de cliquer sur ce lien Catalogue des oeuvres à l'accueil.
Si vous constatez un dysfonctionnement cliquez ici.
Lyn Nékorimaté
Oeuvre de La forêt d’Ipotêtu
Dans une salle coté parking
Quatre vidéos de 4 minutes 33 secondes
4 x 4’33 », quatre vidéos sonores de 4 minutes 33 secondes chacune projetées sur les quatre murs d’une salle au rez-de-chaussez du musée, coté parking. Cette installation révèle quatre minutes trente-trois de silence, vécues quatre fois simultanément. Dans l’obscurité et tout autour, des silhouettes aux traits de couleurs attendent, assises ou allongées, partagent un même temps de silence avec le visiteur. Cette pièce est dédiée à John Cage.
Lyn Nékorimate
Oeuvre de La forêt d’Ipotêtu
La serre musicale apparaît au cœur de la Forêt d’Ipotêtu. Elle est la modélisation de la serre réalisée à l’échelle1 en matériaux recyclés sur la friche du collège, en préparation de l’atelier. Elle se dévoile ici sous la forme d’une serre colorée, semblable à un vitrail en trois dimensions et accueillant plusieurs pièces : Echos d’épices, album audio représenté par un disque vinyle, réunissant quatre morceaux musicaux, L’aire de rien, Couché de soleil, Elixir de pluie, Fermentation. Partitions, est une affiche à télécharger, composée des partitions des élèves. L’herbier, une vidéo semblable à une projection de diapositives des dessins d’épices des élèves. L’œuvre s’active via le projecteur de diapositives au sol dans la serre. Cristal-rocher A, Cristal-rocher B, Cristal-rocher C, groupe de trois rochers en 3D, semblables à des cristaux sonores. Chacun d’eux murmure un chant du répertoire traditionnel oral gascon, accompagné d’un tambourin à cordes. Chants issus d’enregistrements réalisés avec les élèves du cours d’occitan, professeure Marion Lavergne et Lucie Longué, artiste invitée.
Lyn Nékorimaté & Sébastien Garciaz
Dans les bâtiments est du Musée sur deux niveaux
47 sculptures sonores et musicales en mode aléatoire d’apparition
Acting Echoes (Echos agissants) est une série de 47 calligraphies sculpturales aux comportements sonores. Ces calligraphies géantes sont les chorégraphies écrites et interprétées par les élèves de 5ème avec l’interface HTCVive lors de l’atelier en décembre 2018. Installées au sein du musée dans deux salles superposées, une en positif et l’autre en négatif, ces calligraphies sculpturales apparaissent en mode aléatoire, offrant des compositions visuelles et des canopées polyphoniques différentes à chaque visite. De provenances et références diverses, ces instants sonores ou musicaux nous immergent dans des fragments de vie ou d’histoire. Chaque moment sonore est une réponse de Lyn Nékorimaté au thème qui a motivé l’écriture chorégraphique de chaque élève. Deux échos d’un mot, un chorégraphique puis sculptural et l’autre phonique.
Lyn Nékorimaté
Sur le parvis du Musée & Rez-de-chaussée dans le bâtiment, coté parking
Plantes modélisées en 3D, sons, serre musicale, vidéos, affiche
La forêt d’Ipotêtu se compose d’arbres sonores, sortes de plantes démesurées qui murmurent et répondent aux chants des lucioles qui dansent entre elles. Au cœur de cette forêt polyphonique, une serre musicale et multicolore abrite d’autres œuvres graphiques, audio et vidéo : L’herbier, Partitions, Echos d’épices, Cristal-rocher A, B et C, et 4 x 4’33 », installée dans une salle du musée d’Ipotêtu.
Jean Paul Labro & Sébastien Garciaz
Sur le parking / 74 Objets 3D, sons, textes
Sphaera magnetica est une chimère totémique et cacophonique réalisée avec divers objets collectés auprès des collégiens de 2017 à 2018. Les objets ont été sonorisés dans la classe de musique de Benoît Cazaubon.
Chaque objet a été scanné en 3D puis a subi un traitement numérique de simplification formelle le menant au seuil graphique de sa disparition. Grâce à l’interactivité de la sphère, on peut cliquer sur chacun d’eux pour faire apparaître un visuel sur son origine matérielle.
Si la sphère magnétique agglomère les signes d’une génération, c’est qu’elle est composée d’une typologie d’objets usuels et/ou intimes appartenant aux collégiens. La présence de nombreux smartphones révèle un objet fétiche qui recèle toute une intimité de liens affectifs et culturels autant que de pratiques discursives et singulières. À chaque smartphone scanné est attaché un message écrit par son propriétaire pour le collégien de demain (il apparaîtra en cliquant sur les objets de la sphère).
La lune de Sphaera magnetica est une sphère parfaite qui lui est attachée. De couleur variable, elle lévite à quelques encablures de sa matrice. En cliquant dessus, vous pourrez écouter la Forme rondeau réalisée dans la classe de Benoît Cazaubon.
Jean Paul Labro
Sur les toits du musée
19 Gif animés
Figure emblématique de la révolte, la prise d’assaut des toits du bahut par ses élèves appartient bien à l’Histoire du cinéma de genre*. On imagine ces dix neuf sentinelles comme les collégiens l’on décidé avec leurs enseignants Solange Chabasse et François Calavia, en inventant et en réalisant leurs costumes de personnages plastiques et le récit de leurs genèses. Quand des héros ordinaires font le plein de super il arrive parfois de drôles d’histoires…
* « IF » , film britannique réalisé en 1968 par Lindsay Anderson
Elsa Mazeau
Son : Olivier Toulemonde
Dans la cour
8 photographies, 5m x 3m30 environ, impressions sur mousses de matelas.
Nous nous appuyons sur la réalité physique des façades, en reliant certains éléments architecturaux entre eux, par des sangles, comme autant de chemins de traverses. L’itinéraire est moins évident, la chute probable ; le fait d’essayer puis de recommencer, tout participe du projet.
Les corps, parcourant ces lignes, forment des relations. La sangle nous permet alors d’éprouver les liens. Elle est le moyen de penser, du latin pensare «peser, soupeser» ou de “réfléchir, fléchir à nouveau”. En équilibre, les enfants funambules et habitants de leurs quartiers, donnent à entendre la mise en tension des architectures. Les vibrations obtenues par la marche, tracent des trajectoires de son. La sangle devient une corde que l’on joue, elle enregistre les pas fragiles, l’équilibre précaire.
Elsa Mazeau
Dans la cuisine, vidéo et photographies, impressions sur plâtre, mobiliers de cuisine
Témoins du temps, les carottages de glace extraites, nous offrent la surprise du surgissement de l’objet. Tels des monuments fixés par la photographie, la glace s’éternise et fait place dans l’espace de la ville.
Ces colonnes “de la victoire” proposent autant de monuments éphémères et cristallisent ainsi une place autour de leur axe.
Elsa Mazeau
Dans la cour intérieure
9 photographies, 3m x 2m, impressions sur métal
Regarder au sol. Glaner par terre. Déambuler dans l’espace de la ville afin de recueillir de multiples éléments naturels qui sont agencés par strates dans une poche plastique. Cette succession de différentes couches crée, telle une stratigraphie, un processus de diagnostic physique des quartiers alentours. Par la photographie, ces superpositions de matières diverses réagencent les hauteurs de sol. Le paysage urbain s’assoit sur ses profondeurs.
Fabrice Cotinat & Yu-Ting SU
Dans le hall d’entrée
Installation composée de 10 vidéos
Dix écrans lévitent dans le hall d’entrée du musée. Ils diffusent des séquences filmées de durées variables que l’on peut regarder dans n’importe quel ordre. Elles forment un film d’une durée total de 14 minutes. Sans début ni fin, les images nous projettent dans un univers fait d’instants de vies, de fantaisies, d’imaginaires, de lumières, de couleurs, de sons, d’inventions, de poésie : Le cinématographe.
YU-Ting SU & Fabrice Cotinat
Dans les bâtiments et en extérieur, 15 animations
Série de 15 animations dispersées dans le musée et ses abords.
Sous un éclairage noir, costumés et accessoirisés, nous figurons des personnages imaginaires et fabuleux qui nous représentent tel que l’on pourrait imaginer notre avatar. Nous pensons dans le même temps notre scénario et nos gestes. Nous imitons la posture du Kuroko. L’Homme dans l’ombre qui manipule toutes les ficelles du jeu théâtral japonais traditionnel.
Cette oeuvre est également visible avec un smart-phone en réalité augmentée à 15 emplacements situés par des marqueurs graphiques dans les bâtiments du collège en en extérieur.
Olivier Toulemonde
Dans l’escalier, premier étage, bâtiment nord
Vidéo sonore
Les escaliers sont des espaces intermédiaires qui relient les étages les uns aux autres. Ce sont donc à la fois des lieux de passage obligés et des lieux de passage partagés. Ce sont aussi des lieux de mouvement, de flux, avec une très forte densité de population à certaines heures, au moment précis des intercours, et un grand vide le reste du temps. Ici, cette double caractéristique du flux et de la verticalité s’entend par la chute fracassante de quelques 600 balles de ping pong.
Olivier Toulemonde
Dans l’escalier, premier étage, bâtiment ouest
Vidéo sonore
Les escaliers sont des espaces intermédiaires qui relient les étages les uns aux autres. Ce sont donc à la fois des lieux de passage obligés et des lieux de passage partagés. Ce sont aussi des lieux de mouvement, de flux, avec une très forte densité de population à certaines heures, au moment précis des intercours, et un grand vide le reste du temps. Ici, cette double caractéristique du flux et de la verticalité s’entend par la chute fracassante de quelques 600 balles de ping pong.
Olivier Toulemonde
Dans le couloir du deuxième étage, bâtiment sud
Vidéo sonore
Les couloirs sont des traits d’union, qui relient les différents espaces du collège, mais qui les séparent aussi. Ce sont des espaces de seconde zone, qui n’ont d’autre fonction que le déplacement – ou l’attente – et qui appartiennent à tous. Ils portent en eux une temporalité : le temps nécessaire pour les parcourir d’un bout à l’autre. Dans cette œuvre, c’est à partir d’une chaise, objet de l’immobilité par excellence, que l’on va tenter de faire entendre le couloir, dans toute sa longueur.
Olivier Toulemonde
Dans le couloir du premier étage, bâtiment ouest
Vidéo sonore
Les couloirs sont des traits d’union, qui relient les différents espaces du collège, mais qui les séparent aussi. Ce sont des espaces de seconde zone, qui n’ont d’autre fonction que le déplacement – ou l’attente – et qui appartiennent à tous. Ils portent en eux une temporalité : le temps nécessaire pour les parcourir d’un bout à l’autre. Dans cette œuvre, c’est à partir d’une chaise, objet de l’immobilité par excellence, que l’on va tenter de faire entendre le couloir, dans toute sa longueur.
Olivier Toulemonde
Dans le couloir du deuxième étage, bâtiment ouest
Vidéo sonore
Les couloirs sont des traits d’union, qui relient les différents espaces du collège, mais qui les séparent aussi. Ce sont des espaces de seconde zone, qui n’ont d’autre fonction que le déplacement – ou l’attente – et qui appartiennent à tous. Ils portent en eux une temporalité : le temps nécessaire pour les parcourir d’un bout à l’autre. Dans cette œuvre, c’est à partir d’une chaise, objet de l’immobilité par excellence, que l’on va tenter de faire entendre le couloir, dans toute sa longueur.
Laurence Cornet
Espace annexe au Hall d’entrée
Mobilier, 24 boites d’archive, photographies, dessins, textes.
La salle des archives regroupe les éléments récoltés lors des déambulations stratigraphiques ou prospections dans le collège Pierre Emmanuel. Dans cette salle, on retrouve les objets, mais également leurs photographies et mise en sens, c’est à dire leur interprétation à la fois iconographique mais aussi textuelle, productions des élèves. Ces archéologues de leur propre quotidien ont à la fois émis des hypothèses scientifiques et transforment la réalité à partir d’une démarche d’investigation. Ils nous présentent ainsi une vision à la fois poétique et burlesque du collège et de son histoire.
Vous n'en saurez pas plus !
Mon histoire, je la garde pour moi.
Bonjour, j’ai 21 ans, je vis à Bordeaux, je suis grande, rapide, rusée, discrète et intelligente. J’ai les yeux marron et les cheveux bruns.
J’ai toujours avec moi un petit sac avec ma cape d’invisibilité et mon petit caméléon qui s’appelle Joe. Je suis née en Nouvelle-Zélande et mon surnom est Camélonne.
Avec mon pouvoir, je peux devenir invisible grâce à ma cape et Joe sur mon épaule droite. Ma mère et ma grand-mère ont ce pouvoir. Ma mère me l’a dit à l’âge de 8 ans, au début je n’y croyais pas mais à 11 ans je me suis transformée pour aider une personne dans la rue. La personne était en train de se faire voler ses affaires et je l’ai aidée. Je suis d’abord devenue invisible ensuite j’ai attrapé le voleur et l’ai mis au sol et au final j’ai aidé la victime. Quand j’ai aidé la victime j’étais fière de moi et très heureuse.
J'ai 12 ans, je suis petite, mes cheveux sont châtain clairs et j’ai des yeux de plusieurs couleurs. On m’a souvent dit que j’amenais le temps avec moi quand je chantais. Je n’aime pas la violence et les maladies. J’adore chanter, je ferais tout pour ma famille et je suis une collégienne comme les autres.
Un jour que je chantais pour le spectacle de l’école, on m’a dit que pendant que je chantais cette chanson si joyeuse, mes yeux brillaient et ils étaient devenus orange et aussi que le soleil était apparu d’un coup, comme ça… C’est depuis ce jour que j’ai compris cette fameuse phrase qu’on me disait si souvent quand j’étais plus petite. Depuis je vais dans les pays chauds et secs pour amener la pluie et dans les pays froids pour amener le soleil. On me connaît aujourd'hui sous le nom de Weathergirl.
Je suis une fille de 13 ans. J’ai les cheveux châtain foncé et j’ai les yeux marron. Je suis au collège Pierre Emmanuel. J’ai découvert que j’avais un don à plusieurs moments de la journée. Dans la cour, on faisait de la course d’orientation, je courais à côté de mes amis et je me suis rendu compte que je courais beaucoup plus vite que tout le monde. Après c’était dans la cour de récréation, il y avait des personnes que je n’aimais pas du tout. Elles étaient au fond de la cour et j’avais entendu toute la discussion comme si elles parlaient à côté de moi, j’ai trouvé ça étrange… Ensuite c’était au Self et je ne savais pas pourquoi mais j’avais un mauvais pressentiment. Un truc s’est passé. Une personne était entrain de tomber et grâce à ma vitesse, j’ai réussi à l’empêcher de tomber. Le soir, comme tous les jours, je m’entraînais à faire de la gym et je ne savais pas pourquoi mais j’étais devenu super souple. Du coup, j’ai prié pour la première fois et une personne m’a répondu qu'elle était un dieu. Il m’expliqua qu'il était mon père et que ma mère était un guépard et que dans la journée s'il y avait des moments étranges c’était normal. Du coup grâce à ça, je suis devenue une héroïne. Je m’appelle Félinblack, mais personne ne connaît mon identité. Du coup depuis ce jour là je résous les problèmes du monde entier.
Je suis Super-crayon, je mesure 1m50 et je pèse 45kg. Je suis timide et silencieuse et je dessine beaucoup lorsque je m’ennuie. Je m’intéresse un peu à l’écologie car si les arbres meurent, il n’y aura plus de papier pour mes dessins !
Je pensais être une collégienne ordinaire jusqu’au jour où j’étais tellement concentrée dans mon dessin que j’ai dessiné une magnifique fleur en trois secondes et elle a pris vie ! J’ai sursauté et j’étais très surprise. Je me disais : « Comment c’est possible ??! ». Ensuite j’ai compris que j’avais un super pouvoir. Depuis ce jour, je dessine de la nourriture et des maisons pour les pauvres et des arbres pour la planète.
Pas de commentaire !
Je préfère rester discrète.
J’ai 13 ans, je n’étais qu’une jeune collégienne banale jusqu’au jour où je suis rentrée chez moi, comme d’habitude et sur le chemin du retour, devant moi, un pot de fleur allait tomber sur la tête d’un passant. Ça pouvait sembler n’être pas grand chose mais les conséquences auraient été horribles. Il aurait pu être gravement blessé. Tout d’un coup, j’ai commencé à courir et ma montre a clignoté et a arrêté le temps. J’ai pu empêcher cette catastrophe.
Depuis ce jour, je m’appelle chrono-girl.
Sans commentaire !
Un jour un nouvel élève arriva et personne ne l'aimait alors je suis allé vers lui et lui ai demandé ce qu'il y avait. Il me dit : «Personne ne veut jouer avec moi parce que je suis différent». Il avait en effet un bras en moins. Il continua à me parler : «Je ne peux pas jouer au basket et tout le monde dit que je suis nul, moche et que je n'arriverai à rien». C'était tellement triste… Alors j'ai sorti mon crayon et lui ai dessiné une prothèse en papier renforcé. Il me remercia et partit en courant. Le lendemain je me posai plein de questions : " Comment j'avais fait ça ? et comment j'avais eu le réflexe de le faire ?" Je réessayai avec cette fois-ci un chat en papier. Le chat de papier prit forme dans ma chambre. Je me suis dit que faire ça pour les autres c'était bien, alors j’ai commencé à aider les gens .
Bonjour je m’appelle Water-fireman. Quand j’avais 7ans, je n’étais pas comme les autres, j’avais une réaction allergique parfois au feu et parfois à l’eau. Un jour il y a eu un incendie dans ma maison et j’ai eu une pulsion qui m’a fait sortir de l’eau des mains. Donc quand il y a des incendies je produis un jet d’eau de la main droite et quand il y a des inondations je sors une flamme de la main gauche qui repousse l’eau. J’ai réussi à utiliser ce pouvoir pour les cas extrêmes. Bref ça c’est ma vie de super-héros mais dans la vraie vie j’ai 13 ans, je suis en 5 ème, je suis de taille normale, un peu enveloppé et j’ai les cheveux châtain. J’adore la plongée sous-marine, le BMX et le skate. Voilà vous savez quel super héros je suis…
Je préfère rester discret.
Salut, je suis en 5 ème au collège Pierre-Emmanuel à Pau.
Je déteste quand il pleut beaucoup et quand j'ai pas ma carte de bus parce que je ne supporte pas de rentrer chez moi trempé de la tête aux pieds. J’adore les tacos et le cinéma surtout quand je suis avec mes amis. J’aime beaucoup aussi quand je sors avec eux dehors, en ville ou au Leclerc.
Je crois que la fin du monde n’arrivera jamais mais il n'y a que moi qui croit ça… J’ai oublié un truc : J’ai douze ans et je fais mes treize ans le trois août.
Mais passons aux choses sérieuses ! Mon pseudonyme est Hiyata, je fais 1.73 m et je pèse 52 kg. J'ai les yeux marron et les cheveux châtains. Mon super pouvoir me permet de remonter le temps pour que je ne refasse pas les mêmes bêtises, mais j'ai quand même la faiblesse d'être trop gentil…
Je préfère ne rien dire !
J’étais une personne normale. Je kiffais le basket ball mais étant nul, je m'entraînais dur tous les jours, mais ça ne s'améliorait pas. Un jour j'ai reçu un ballon de basket sur la tête. On croyait que je ne me réveillerais pas, mais heureusement c'est arrivé quelques jours plus tard. A mon réveil, j'ai eu des hallucinations, comme si les personnes disparaissaient. J'étais plus fort et plus rapide. Je pouvais sauter plus haut que les gens et là je me suis rendu compte que j'avais des super pouvoirs et que j'étais plus comme les autres. J'ai aidé les personnes à accomplir leurs rêves et fait en sorte que tout le monde soit protégé. Un jour un super méchant est arrivé en ville, il a essayé de tout détruire avec une dizaine de robots. Mais comme j'étais devenu Brousman, j'ai pu les détruire avec des ballons de baskets explosifs et le super méchant s'est enfui.
Je m’appelle Ichigo et j’ai le pouvoir de l’eau. Je contrôle les tsunamis et j’arrête tous les feux. Un jour quelqu’un a cambriolé une maison et y a mis le feu, mais grâce à mes pouvoirs j’ai réussi à arrêter le voleur et l’incendie.
Je m’appelle Bibou, je suis solidaire, engagée et rapide pour sauver le monde, mais je suis une collégienne normale. Le jour où tout a commencé, j’étais dehors et j’ai vu une jeune fille traverser la route et une voiture fonçait droit sur elle. J’ai eu tellement peur qu’elle se fasse écraser que j’ai couru pour la sauver. Je l’ai attrapée et j’ai réussi à la sauver. Maintenant j’ai un super pouvoir, dès que quelqu’un est en danger je le sens et je viens le secourir, peu importe où il se trouve, même de l’autre côté du monde.
Bonjour je m’appelle Julien, j’ai 13ans, je suis petit, j’ai les cheveux noirs et les yeux marron. Je n’aime pas la violence et les personnes qui s’embrouillent avec les autres. Un jour au collège, il y a eu une dispute entre deux personnes, ils ne voulaient pas se comprendre mais moi je savais comment il fallait les arrêter. J’ai tellement pensé qu’ils ont compris comment s’arrêter. Et je me suis demandé si c’était moi qui avait fait ça. Je suis allé voir s'il y avait d’autres élèves qui s’embrouillaient dans le collège. Il y a eu une embrouille et j’ai repensé comme la première fois. Je me suis rendu compte que j’avais le pouvoir de rentrer dans les pensées des personnes.